L’Élysée n’aurait pu être plus clair : « Ce ne sera pas le sens de la visite. On ne va pas s’arrêter à de tels développements particuliers. » La question qui était posée à ce haut conseiller du « château » n’était pourtant pas anodine : il s’agissait de savoir si Emmanuel Macron allait profiter de la visite officielle du prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed ben Salmane (dit MBS) du 8 au 10 avril en France, pour mettre des conditions aux ventes d’armes françaises à destination du Royaume, alors que celui-ci est engagé depuis trois ans dans une guerre meurtrière pour les civils au Yémen.
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