Le langage est prudent, mais le constat cinglant : une fois de plus la Suisse pourrait se retrouver dans le collimateur, contrainte sous la pression internationale de mettre de l’ordre dans un secteur d’activité en plein essor. Mais cette fois-ci, il ne s’agit pas de banques, de secret bancaire ou d’avantages fiscaux, mais des « zones douanières d’exception » : ports francs et « entrepôts douaniers ouverts » qui continuent à attirer œuvres d’art, antiquités, métaux précieux et grands crus, propriétés des plus grandes fortunes au monde.
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Le langage est prudent, mais le constat cinglant : une fois de plus la Suisse pourrait se retrouver dans le collimateur, contrainte sous la pression internationale de mettre de l’ordre dans un secteur d’activité en plein essor. Mais cette fois-ci, il ne s’agit pas de banques, de secret bancaire ou d’avantages fiscaux, mais des « zones douanières d’exception » : ports francs et « entrepôts douaniers ouverts » qui continuent à attirer œuvres d’art, antiquités, métaux précieux et grands crus, propriétés des plus grandes fortunes au monde.
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