Rester ou partir ? Dénoncer au risque de se faire expulser ou aider en silence ? Les organisations humanitaires se trouvent régulièrement confrontées au risque, au pire, de conforter des régimes criminels envers les populations, ou, au mieux, de contribuer à faire perdurer des situations dramatiques. Présente dans les Territoires palestiniens depuis 1989, Médecins sans frontières ne souhaite pas s'en aller. Mais l'organisation s'élève aujourd'hui contre « la normalisation inacceptable »d'un conflit qui n'en est plus un, mais qui a tout d'une occupation à sens unique.
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Rester ou partir ? Dénoncer au risque de se faire expulser ou aider en silence ? Les organisations humanitaires se trouvent régulièrement confrontées au risque, au pire, de conforter des régimes criminels envers les populations, ou, au mieux, de contribuer à faire perdurer des situations dramatiques. Présente dans les Territoires palestiniens depuis 1989, Médecins sans frontières ne souhaite pas s'en aller. Mais l'organisation s'élève aujourd'hui contre « la normalisation inacceptable » d'un conflit qui n'en est plus un, mais qui a tout d'une occupation à sens unique.
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