« S’il vous plaît, pardonnez à la République polonaise, pardonnez aux Polonais, pardonnez à la Pologne de l’époque pour cet acte honteux. » Le ton et les mots choisis par le président polonais Andrzej Duda, jeudi 8mars, à l’occasion du 50e anniversaire des « événements de mars 1968 », sont d’autant plus inhabituels qu’ils concernent un sujet brûlant, celui de l’antisémitisme, qui a largement contribué à ternir les relations entre Varsovie et ses voisins européens.
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« S’il vous plaît, pardonnez à la République polonaise, pardonnez aux Polonais, pardonnez à la Pologne de l’époque pour cet acte honteux. » Le ton et les mots choisis par le président polonais Andrzej Duda, jeudi 8 mars, à l’occasion du 50e anniversaire des « événements de mars 1968 », sont d’autant plus inhabituels qu’ils concernent un sujet brûlant, celui de l’antisémitisme, qui a largement contribué à ternir les relations entre Varsovie et ses voisins européens.
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