Istanbul (Turquie), de notre correspondant.– Par affinité ethnique et religieuse, la Turquie ouvre les bras aux exilés ouïghours depuis les années 1960. Leur nombre a cependant fortement augmenté au cours de la dernière décennie, à mesure que s’intensifiaient les persécutions chinoises contre cette population musulmane dans sa patrie d’origine, la région autonome du Xinjiang, appelée par les Ouïghours Turkestan oriental.
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