Alassane Ouattara a bien été le candidat soutenu par la France lors de l’élection présidentielle de 2010 en Côte d’Ivoire qui l’a opposé, au second tour, à Laurent Gbagbo, président sortant. Cela n’a pas été officiellement revendiqué, mais tout l’indiquait. Il était alors présenté par les médias occidentaux comme un « technocrate », un « bon gestionnaire », sans beaucoup plus de détails. Pourtant, tout son parcours permet de comprendre combien il était et reste rassurant pour la France, qui cherche à sauvegarder ses intérêts géostratégiques et économiques en Afrique.
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Alassane Ouattara a bien été le candidat soutenu par la France lors de l’élection présidentielle de 2010 en Côte d’Ivoire qui l’a opposé, au second tour, à Laurent Gbagbo, président sortant. Cela n’a pas été officiellement revendiqué, mais tout l’indiquait. Il était alors présenté par les médias occidentaux comme un « technocrate », un « bon gestionnaire », sans beaucoup plus de détails. Pourtant, tout son parcours permet de comprendre combien il était et reste rassurant pour la France, qui cherche à sauvegarder ses intérêts géostratégiques et économiques en Afrique.
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