En Haïti, la rue a parlé. Durement. Entre le 6 et le 8 juillet, des émeutes, dont le bilan est de 20 morts, ont fait reculer le pouvoir, et démissionner le premier ministre qui prétendait augmenter le prix de l’essence de 38 % – ainsi que celui du diesel et du kérosène, de 47 % et de 51 %. Depuis lors, Haïti est resté sans gouvernement ou presque - désigné début août, le nouveau premier ministre Jean Henry Céant n'a présenté que ce jeudi 6 septembre la liste de ses ministres - et la mobilisation, désormais pacifique, s’amplifie autour du plus grand scandale politico-pétrolier de la région caraïbe : l’affaire des financements pétroliers vénézuéliens PetroCaribe.
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En Haïti, la rue a parlé. Durement. Entre le 6 et le 8 juillet, des émeutes, dont le bilan est de 20 morts, ont fait reculer le pouvoir, et démissionner le premier ministre qui prétendait augmenter le prix de l’essence de 38 % – ainsi que celui du diesel et du kérosène, de 47 % et de 51 %. Depuis lors, Haïti est resté sans gouvernement ou presque - désigné début août, le nouveau premier ministre Jean Henry Céant n'a présenté que ce jeudi 6 septembre la liste de ses ministres - et la mobilisation, désormais pacifique, s’amplifie autour du plus grand scandale politico-pétrolier de la région caraïbe : l’affaire des financements pétroliers vénézuéliens PetroCaribe.
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