Les observateurs avaient imaginé des dizaines de rebondissements possibles, à l'approche d'un vote très attendu, mercredi midi à Strasbourg, sur le projet de traité de libre-échange avec les États-Unis (TTIP ou TAFTA pour ses adversaires). Mais ce scénario-là, ils sont peu à l'avoir vu venir. Martin Schulz, le président du Parlement européen, a décidé in extremis, mardi en début de soirée, de reporter la consultation du lendemain. Quelques lignes envoyées par mail aux 751 eurodéputés ont suffi : circulez, le vote n'aura pas lieu (ci-dessous le mail du secrétariat général envoyé aux eurodéputés).
Les observateurs avaient imaginé des dizaines de rebondissements possibles, à l'approche d'un vote très attendu, mercredi midi à Strasbourg, sur le projet de traité de libre-échange avec les États-Unis (TTIP ou TAFTA pour ses adversaires). Mais ce scénario-là, ils sont peu à l'avoir vu venir. Martin Schulz, le président du Parlement européen, a décidé in extremis, mardi en début de soirée, de reporter la consultation du lendemain. Quelques lignes envoyées par mail aux 751 eurodéputés ont suffi : circulez, le vote n'aura pas lieu (ci-dessous le mail du secrétariat général envoyé aux eurodéputés).
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous