Un puissant mouvement social pousse Lenín Moreno dans ses retranchements. Après avoir décrété l’état d’exception le 3 octobre, s’être réfugié dans la seconde ville du pays, Guayaquil, quatre jours plus tard, le président équatorien a décrété mardi soir un couvre-feu partiel à Quito. Des manifestants ont brièvement envahi le Parlement ce jour-là.
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Un puissant mouvement social pousse Lenín Moreno dans ses retranchements. Après avoir décrété l’état d’exception le 3 octobre, s’être réfugié dans la seconde ville du pays, Guayaquil, quatre jours plus tard, le président équatorien a décrété mardi soir un couvre-feu partiel à Quito. Des manifestants ont brièvement envahi le Parlement ce jour-là.
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