C’est désormais une certitude : les électeurs israéliens devront retourner aux urnes, probablement le 2 mars – ce sera la troisième fois en moins d’un an – pour élire un nouveau parlement. Avec l’espoir incertain de voir enfin une coalition majoritaire sortir de leurs votes pour accorder son soutien à un premier ministre. Mais la société israélienne est si divisée, l’échiquier politique si fractionné par le scrutin proportionnel et la construction des coalitions parlementaires si inextricable que la nouvelle consultation risque fort de déboucher sur la même impasse que les deux précédentes.
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C’est désormais une certitude : les électeurs israéliens devront retourner aux urnes, probablement le 2 mars – ce sera la troisième fois en moins d’un an – pour élire un nouveau parlement. Avec l’espoir incertain de voir enfin une coalition majoritaire sortir de leurs votes pour accorder son soutien à un premier ministre. Mais la société israélienne est si divisée, l’échiquier politique si fractionné par le scrutin proportionnel et la construction des coalitions parlementaires si inextricable que la nouvelle consultation risque fort de déboucher sur la même impasse que les deux précédentes.
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