Athènes (Grèce), correspondance.– Depuis les côtes turques, les rivages de Lesbos surgissent après une douzaine de kilomètres de mer Égée. En 2019, ce bras de mer est redevenu la première porte d’entrée des demandeurs d’asile dans l’Union européenne, pour la plupart des Afghans et des Syriens. Mais un nouvel obstacle pourrait bientôt compliquer le passage, sinon couper la voie. À Athènes, le gouvernement conservateur estime détenir une solution pour réduire les arrivées : ériger une barrière flottante anti-migrants.
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Athènes (Grèce), correspondance.– Depuis les côtes turques, les rivages de Lesbos surgissent après une douzaine de kilomètres de mer Égée. En 2019, ce bras de mer est redevenu la première porte d’entrée des demandeurs d’asile dans l’Union européenne, pour la plupart des Afghans et des Syriens. Mais un nouvel obstacle pourrait bientôt compliquer le passage, sinon couper la voie. À Athènes, le gouvernement conservateur estime détenir une solution pour réduire les arrivées : ériger une barrière flottante anti-migrants.
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