L’œuvre en mosaïque est devenue le symbole de la migration massive des Vénézuéliens, au grand dam de son créateur, l'artiste Carlos Cruz-Diez. Ces larges bandes multicolores incrustées dans le sol du hall de l'aéroport international Simón-Bolívar à Maiquetía, non loin de la capitale du pays, Caracas, apparaissent sur toutes les photos des articles qui racontent l'exil. Elles illustrent toutes les scènes d'adieu qui se répandent sur les réseaux sociaux.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous