« Je suis un monstre. » Tel est le propos d’un homosexuel tchétchène aujourd’hui réfugié en Europe. « Je ne comprends pas les gens qui nous aident. Je comprends très bien ma famille », a dit cet homme à une ONG, sous couvert d’anonymat, après avoir été détenu, torturé, puis relâché et après avoir compris que sa famille, sous la pression du village, voulait le tuer en raison de son orientation sexuelle.
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« Je suis un monstre. » Tel est le propos d’un homosexuel tchétchène aujourd’hui réfugié en Europe. « Je ne comprends pas les gens qui nous aident. Je comprends très bien ma famille », a dit cet homme à une ONG, sous couvert d’anonymat, après avoir été détenu, torturé, puis relâché et après avoir compris que sa famille, sous la pression du village, voulait le tuer en raison de son orientation sexuelle.
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