Face à l’inhumanité des politiques migratoires de l’Italien Matteo Salvini, le sursaut européen n’est venu ni de Bruxelles ni de Paris, mais d’Espagne. Dès lundi 11 juin au matin, deux maires ont d’abord fait savoir qu’ils se proposaient pour accueillir dans leur port l’Aquarius et les 629 migrants à son bord : Ada Colau, à Barcelone et Joan Ribó, à Valence. L’ancienne activiste Colau en a profité pour interpeller Pedro Sánchez, le nouveau président du gouvernement espagnol, en poste depuis le 2 juin : « Ne regardez pas ailleurs », l’a-t-elle imploré.
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Face à l’inhumanité des politiques migratoires de l’Italien Matteo Salvini, le sursaut européen n’est venu ni de Bruxelles ni de Paris, mais d’Espagne. Dès lundi 11 juin au matin, deux maires ont d’abord fait savoir qu’ils se proposaient pour accueillir dans leur port l’Aquarius et les 629 migrants à son bord : Ada Colau, à Barcelone et Joan Ribó, à Valence. L’ancienne activiste Colau en a profité pour interpeller Pedro Sánchez, le nouveau président du gouvernement espagnol, en poste depuis le 2 juin : « Ne regardez pas ailleurs », l’a-t-elle imploré.
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