Des députés frappés à terre, d’autres la tête en sang, la cour intérieure de l’Assemblée nationale prise dans une épaisse fumée causée par des tirs de mortiers d’artifice… Le 5 juillet, lors de la fête nationale célébrant la déclaration d’indépendance du pays, le Parlement vénézuélien est pris d’assaut par des militants pro-Maduro. Tardivement évacués du bâtiment par la Garde nationale bolivarienne (la gendarmerie), ils ont bloqué les sorties tout l’après-midi.
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Des députés frappés à terre, d’autres la tête en sang, la cour intérieure de l’Assemblée nationale prise dans une épaisse fumée causée par des tirs de mortiers d’artifice… Le 5 juillet, lors de la fête nationale célébrant la déclaration d’indépendance du pays, le Parlement vénézuélien est pris d’assaut par des militants pro-Maduro. Tardivement évacués du bâtiment par la Garde nationale bolivarienne (la gendarmerie), ils ont bloqué les sorties tout l’après-midi.
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