À l’hôpital al-Shifa de Gaza, les blessés racontent les bombardements

La bande de Gaza ressort épuisée de cet énième round de violences meurtrières entre Israël et le Djihad islamique palestinien. Malgré la trêve entrée en vigueur dimanche soir, les habitants pleurent leurs morts, les destructions sont importantes, et des centaines de blessés sont toujours à l’hôpital, désespérés par la situation et par les pénuries de médicaments. « J’ai vraiment cru qu’on allait tous mourir, enterrés vivants », raconte un rescapé.

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Bande de Gaza (territoires palestiniens occupés).– Sur son lit d’hôpital, la tête soutenue par une écharpe et les jambes immobiles recouvertes de bandages, Nivine Abu Ramadan est allongée sur le côté. Cette Palestinienne de 51 ans habite la tour Palestine, dans le quartier résidentiel et huppé d’al-Rimal, au centre-ville de Gaza, l’un des premiers bâtiments à avoir été bombardés. L’armée israélienne visait l’un des commandants de la branche armée du Djihad islamique.

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