Le silence d'Obama sur Gaza annonce-t-il un changement de politique vis-à-vis d'Israël?
Tout en refusant toujours d'évoquer en détail la situation créée par le bombardement de Gaza, Barack Obama donne les signes d'un changement de cap de la politique américaine au Proche-Orient: Hillary Clinton, qui doit être entendue par le Sénat, mardi 13 janvier, s'est entourée de diplomates aguerris, et le futur président des Etats-Unis a clairement annoncé qu'il était décidé à dialoguer avec l'Iran.
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Barack Obama l'a répété dimanche 11 janvier dans un entretien télévisé sur ABC News: il n'a pas l'intention de s'exprimer en détail sur le bombardement de Gaza par l'armée israélienne depuis bientôt trois semaines avant son entrée en fonction. En revanche, le président (bientôt en activité) des Etats-Unis a annoncé qu'il était «en train d'assembler une équipe [de politique étrangère] avec les meilleures personnes qui puissent, à compter du 20 janvier, s'impliquer immédiatement dans le processus de pays au Proche-Orient».
Jeudi 16 juin, une élève venue passer une épreuve du bac français dans un lycée parisien dit avoir été « agressée » par une responsable éducative qui n’aurait pas apprécié qu’elle vienne voilée et lui a fait rater le début de l’épreuve. Des témoins confirment la violence de la scène.
Le second tour des législatives a confirmé la radicale nouveauté du paysage politique français depuis 2017. La majorité relative dont Emmanuel Macron doit se contenter génère cependant une situation pleine d’inconnues.
Trois jours après avoir perdu sa majorité absolue à l’Assemblée nationale, le président de la République a tenté de minimiser son échec. Martelant que son programme devait être appliqué, il a enjoint à ses opposants de se prononcer sur leur volonté ou non de l’aider à le faire.
Fin avril, un policier a tiré à dix reprises au fusil d’assaut sur une voiture, faisant deux morts et un blessé grave sur le Pont-Neuf, à Paris. Les premiers éléments de l’enquête, auxquels Mediapart et Libération ont eu accès, mettent à mal la thèse de la légitime défense : les balles mortelles ont atteint les victimes par le côté et l’arrière.
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