Nasser Al-Khelaïfi a bien offert, entre 2013 et 2015, de coûteux avantages au Français Jérôme Valcke, à l’époque secrétaire général de la Fifa. Mais le patron qatari du PSG et de la chaîne BeIN Sports ne sera pas jugé pour corruption en Suisse, comme l’a annoncé fin février le Ministère public de la confédération (MPC), le parquet fédéral helvète, au terme de trois ans d’enquête. Nasser Al-Khelaïfi a été renvoyé en correctionnelle pour un délit moins grave, l’« incitation à la gestion déloyale ». Le procès est programmé du 14 au 25 septembre.
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Nasser Al-Khelaïfi a bien offert, entre 2013 et 2015, de coûteux avantages au Français Jérôme Valcke, à l’époque secrétaire général de la Fifa. Mais le patron qatari du PSG et de la chaîne BeIN Sports ne sera pas jugé pour corruption en Suisse, comme l’a annoncé fin février le Ministère public de la confédération (MPC), le parquet fédéral helvète, au terme de trois ans d’enquête. Nasser Al-Khelaïfi a été renvoyé en correctionnelle pour un délit moins grave, l’« incitation à la gestion déloyale ». Le procès est programmé du 14 au 25 septembre.
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