Genève (Suisse), de notre correspondante.- Que faut-il espérer des négociations intersyriennes qui ont repris ce lundi 10 juillet, à Genève, dans le cadre de l’ONU, et qui se poursuivront toute la semaine ? Pas grand-chose, si ce n’est quelques retombées médiatiques permettant de revenir sur l’une des plus grandes catastrophes de l’époque contemporaine : une guerre qui dure depuis six ans et a fait 320 000 morts, 5 millions de réfugiés et 6 millions de déplacés, et qui, malgré une baisse d’intensité des combats ces deux derniers mois dans certaines régions, tue et terrorise toujours au quotidien des enfants, des femmes et des hommes.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
Genève (Suisse), de notre correspondante.- Que faut-il espérer des négociations intersyriennes qui ont repris ce lundi 10 juillet, à Genève, dans le cadre de l’ONU, et qui se poursuivront toute la semaine ? Pas grand-chose, si ce n’est quelques retombées médiatiques permettant de revenir sur l’une des plus grandes catastrophes de l’époque contemporaine : une guerre qui dure depuis six ans et a fait 320 000 morts, 5 millions de réfugiés et 6 millions de déplacés, et qui, malgré une baisse d’intensité des combats ces deux derniers mois dans certaines régions, tue et terrorise toujours au quotidien des enfants, des femmes et des hommes.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous