C'est la deuxième frappe militaire de la France en Syrie. Dans la nuit de jeudi 8 à vendredi 9 octobre, selon le ministère de la défense, les avions français ont ciblé un camp d'entraînement de l'État islamique (EI) près de Raqqah. Des djihadistes français auraient été tués, selon plusieurs médias. « Nous ne frappons pas une nationalité en particulier. Nous frappons ceux qui aujourd'hui préparent des attentats contre la France, a justifié Manuel Valls avant un déplacement en Jordanie. Tous ceux qui rejoignent ces camps, tous ceux qui rejoignent Daech doivent savoir qu'ils peuvent demain être frappés. » Avant d'insister : « S'il y avait un attentat comme ceux que nous avons eus, et que tout porte à croire qu'il a été préparé en Syrie, on nous dirait à juste titre : qu'avez-vous fait ? »
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C'est la deuxième frappe militaire de la France en Syrie. Dans la nuit de jeudi 8 à vendredi 9 octobre, selon le ministère de la défense, les avions français ont ciblé un camp d'entraînement de l'État islamique (EI) près de Raqqah. Des djihadistes français auraient été tués, selon plusieurs médias. « Nous ne frappons pas une nationalité en particulier. Nous frappons ceux qui aujourd'hui préparent des attentats contre la France, a justifié Manuel Valls avant un déplacement en Jordanie. Tous ceux qui rejoignent ces camps, tous ceux qui rejoignent Daech doivent savoir qu'ils peuvent demain être frappés. » Avant d'insister : « S'il y avait un attentat comme ceux que nous avons eus, et que tout porte à croire qu'il a été préparé en Syrie, on nous dirait à juste titre : qu'avez-vous fait ? »
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