DACCA (Reuters) - Les membres de la communauté musulmane apatride des Rohingyas en Birmanie continuent d'être victimes de crimes s'apparentant à un génocide, a déclaré mardi le conseiller spécial pour la prévention du génocide auprès de l'Onu, Adama Dieng.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous