Le massacre d’Orlando n’est ni un énième drame de la libre circulation des armes aux États-Unis, ni même seulement la tuerie la plus meurtrière de l’histoire de ce pays. Elle constitue une attaque inédite contre un lieu emblématique de la communauté LGBT, que la presse et les responsables français ont du mal à nommer comme tel (voir notre article, ou cette revue de presse de France Culture). Alors qu’une telle tuerie exige pourtant une réponse politique adéquate, si l’on veut que les minorités puissent constituer un levier de cette réponse, et ne se trouvent pas instrumentalisées de façon délétère.
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