Buenos Aires (Argentine), correspondance.– « Je ne suis pas responsable. » Lundi 12 août, au terme d’une journée marquée par l’effondrement du peso et de la Bourse de Buenos Aires, le président argentin, les traits tirés, a rejeté la responsabilité de cette nouvelle crise financière sur l’opposition, arrivée largement en tête des primaires organisées la veille. « Le grand problème, c’est que le kirchnérisme n’est pas crédible à l’international », a sèchement asséné Mauricio Macri.
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