En Syrie, les trêves et bombardements se succèdent, et Alep demeure, depuis cinq années maintenant, l’épicentre du conflit. Mercredi 12 octobre, l’organisation des casques blancs syriens faisait état de 25 morts dans le bombardement du quartier de Fardos. La veille, au moins 12 civils, dont quatre enfants, avaient péri à Alep. Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), il s’agissait « des raids aériens russes les plus violents depuis que le régime a annoncé une réduction des bombardements sur la partie orientale d’Alep ». Cette annonce succédait à une autre, faite le 6 octobre par l’ONU : 376 personnes avaient été tuées et 1 266 autres blessées par les bombardements massifs menés depuis le 22 septembre par l'armée syrienne soutenue par son homologue russe.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
En Syrie, les trêves et bombardements se succèdent, et Alep demeure, depuis cinq années maintenant, l’épicentre du conflit. Mercredi 12 octobre, l’organisation des casques blancs syriens faisait état de 25 morts dans le bombardement du quartier de Fardos. La veille, au moins 12 civils, dont quatre enfants, avaient péri à Alep. Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), il s’agissait « des raids aériens russes les plus violents depuis que le régime a annoncé une réduction des bombardements sur la partie orientale d’Alep ». Cette annonce succédait à une autre, faite le 6 octobre par l’ONU : 376 personnes avaient été tuées et 1 266 autres blessées par les bombardements massifs menés depuis le 22 septembre par l'armée syrienne soutenue par son homologue russe.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous