Khartoum (Soudan), envoyée spéciale.- Dans la nuit noire de Khartoum dépourvue dans sa quasi-globalité d’éclairage public, on manque de trébucher sur eux si, l’espace d’un instant, l’attention n’est plus rivée sur les trottoirs défoncés. Abrités généralement sous les arbres qui bordent les routes de la capitale soudanaise, ils ont installé des paillasses, des réchauds pour faire du thé, des cordes à linge pour faire sécher leurs treillis, et aligné avec soin leurs bottines fourrées avec leurs chaussettes sales au pied de leurs lance-roquettes montés sur des pick-up imposants.
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Khartoum (Soudan), envoyée spéciale.- Dans la nuit noire de Khartoum dépourvue dans sa quasi-globalité d’éclairage public, on manque de trébucher sur eux si, l’espace d’un instant, l’attention n’est plus rivée sur les trottoirs défoncés. Abrités généralement sous les arbres qui bordent les routes de la capitale soudanaise, ils ont installé des paillasses, des réchauds pour faire du thé, des cordes à linge pour faire sécher leurs treillis, et aligné avec soin leurs bottines fourrées avec leurs chaussettes sales au pied de leurs lance-roquettes montés sur des pick-up imposants.
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