Donald Trump nous offre le spectacle d’un deuil pathologique. Il ne peut se résoudre à la défaite. Et sa souffrance se cristallise sur le corps comme objet de l’expression pulsionnelle : le corps électoral américain. Il faut qu’il bouge encore et lui envoie des signes d’allégeance. Il ne saurait être tout à fait mort.
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Donald Trump nous offre le spectacle d’un deuil pathologique. Il ne peut se résoudre à la défaite. Et sa souffrance se cristallise sur le corps comme objet de l’expression pulsionnelle : le corps électoral américain. Il faut qu’il bouge encore et lui envoie des signes d’allégeance. Il ne saurait être tout à fait mort.
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