De notre envoyé spécial à Bruxelles. – David Cameron s’y est-il mieux pris qu’Alexis Tsipras, le chef du gouvernement grec qui a presque tout perdu au terme de son bras de fer épique avec Bruxelles en 2015 ? Au-delà des postures de campagne, le conservateur britannique a-t-il, lui, obtenu cette « flexibilité » qu’il appelait de ses vœux dans sa lettre adressée en novembre à Donald Tusk, le patron du conseil européen ? L’interrogation, cruciale pour l'avenir de l'Union, fera tout le piment de la réunion des chefs d’État et de gouvernement, jeudi et vendredi dans la capitale belge.
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