« Ils ne ressentent plus le besoin de cacher leurs actions. » C’est ainsi que s’intitule l’article du journal anglais The Telegraph dénonçant les crimes dont se rendraient coupables les forces irakiennes. Lundi 10 juillet, le premier ministre irakien, Haïder al-Abadi, annonçait officiellement la libération de la ville, contrôlée par l’État islamique depuis juin 2014. Depuis, les témoignages ne cessent de sortir sur les mauvais traitements que les soldats irakiens infligeraient aux prisonniers soupçonnés d’être des membres de Daech.
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