C’est l’un des aspects les plus concrets de l’absence d’« Europe sociale ». La politique agricole commune (PAC), plus gros portefeuille d’argent public européen avec 34,5 % du budget communautaire, ne dit pas un mot sur les conditions de travail ni les conditions d’emploi du secteur. Les 58 milliards d’euros de subventions annuelles sont distribués indépendamment du respect du droit du travail, et les exploitations agricoles qui enfreignent la législation sociale de leur pays bénéficient de ces aides financées par les contribuables européens sans jamais être inquiétées.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
C’est l’un des aspects les plus concrets de l’absence d’« Europe sociale ». La politique agricole commune (PAC), plus gros portefeuille d’argent public européen avec 34,5 % du budget communautaire, ne dit pas un mot sur les conditions de travail ni les conditions d’emploi du secteur. Les 58 milliards d’euros de subventions annuelles sont distribués indépendamment du respect du droit du travail, et les exploitations agricoles qui enfreignent la législation sociale de leur pays bénéficient de ces aides financées par les contribuables européens sans jamais être inquiétées.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous