Il aura fallu à peine une quinzaine d’heures, lundi 16 octobre 2017, aux forces gouvernementales irakiennes pour reprendre le contrôle de la ville de Kirkouk, qui était entre les mains des Kurdes depuis 2014. Et d’enfoncer ainsi un clou supplémentaire dans le cercueil du référendum d’indépendance du Kurdistan irakien du 25 septembre dernier. Cette conséquence n’était pas inéluctable ; elle était néanmoins prévisible au regard de l’intransigeance des deux parties, de l’absence d’implication américaine et des propres divisions entre factions kurdes.
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Il aura fallu à peine une quinzaine d’heures, lundi 16 octobre 2017, aux forces gouvernementales irakiennes pour reprendre le contrôle de la ville de Kirkouk, qui était entre les mains des Kurdes depuis 2014. Et d’enfoncer ainsi un clou supplémentaire dans le cercueil du référendum d’indépendance du Kurdistan irakien du 25 septembre dernier. Cette conséquence n’était pas inéluctable ; elle était néanmoins prévisible au regard de l’intransigeance des deux parties, de l’absence d’implication américaine et des propres divisions entre factions kurdes.
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