Six ans après le renversement et la mort du colonel Kadhafi, la France paie au prix fort une guerre dont Nicolas Sarkozy fut l’initiateur et le plus ardent protagoniste. La Libye est devenu un « impératif de sécurité national, régional et international », a souligné Emmanuel Macron, mardi 25 juillet. Deux semaines plus tôt, le 11 juillet, Jean-Yves Le Drian, ministre des affaires étrangères après avoir été durant tout le quinquennat Hollande ministre de la défense, décrivait en ces termes la situation devant les députés: « La Libye souffre de l’absence d’État et de l’anarchie qui en découle […]. Ce pays est source de grands périls pour nous »(lire son audition ici).
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Six ans après le renversement et la mort du colonel Kadhafi, la France paie au prix fort une guerre dont Nicolas Sarkozy fut l’initiateur et le plus ardent protagoniste. La Libye est devenu un « impératif de sécurité national, régional et international », a souligné Emmanuel Macron, mardi 25 juillet. Deux semaines plus tôt, le 11 juillet, Jean-Yves Le Drian, ministre des affaires étrangères après avoir été durant tout le quinquennat Hollande ministre de la défense, décrivait en ces termes la situation devant les députés: « La Libye souffre de l’absence d’État et de l’anarchie qui en découle […]. Ce pays est source de grands périls pour nous » (lire son audition ici).
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