Il est arrivé ce que tous les Vénézuéliens craignaient : la chute du prix de baril de pétrole. À un peu plus de 60 dollars le baril, c'est la mamelle du Venezuela qui se tarit : 95% des exportations en dépendent. Le gouvernement n'avait déjà pas tenu son budget 2014 alors que le prix du baril dépassait les 100 dollars avant la dégringolade amorcée mi-juin. Le pays a beau posséder les plus grandes réserves au monde, il ne parvient pas à augmenter sa production et a même dû, en octobre, pour la première fois, importer du pétrole depuis l'Algérie.
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Il est arrivé ce que tous les Vénézuéliens craignaient : la chute du prix de baril de pétrole. À un peu plus de 60 dollars le baril, c'est la mamelle du Venezuela qui se tarit : 95 % des exportations en dépendent. Le gouvernement n'avait déjà pas tenu son budget 2014 alors que le prix du baril dépassait les 100 dollars avant la dégringolade amorcée mi-juin. Le pays a beau posséder les plus grandes réserves au monde, il ne parvient pas à augmenter sa production et a même dû, en octobre, pour la première fois, importer du pétrole depuis l'Algérie.
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