C’est certainement le plus grand défi diplomatique auquel il est confronté depuis son arrivée à la tête de l’Inde en mai 2014. En organisant une rencontre surprise à Lahore avec son homologue pakistanais Nawaz Sharif qui fêtait ses 66 ans, le jour de Noël 2015, Narendra Modi – d’un an son cadet – était résolu à donner une nouvelle tournure au dialogue de sourds que se livrent les deux grandes puissances nucléaires d’Asie du Sud, depuis leur indépendance. Douze ans s’étaient écoulés depuis la dernière visite d’un premier ministre indien en terre pakistanaise. C’était en janvier 2004 et il s’agissait d’Atal Bihari Vajpayee, un chef de gouvernement qui, déjà à l’époque, portait les couleurs du Parti du peuple indien (BJP, droite nationaliste hindoue).
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C’est certainement le plus grand défi diplomatique auquel il est confronté depuis son arrivée à la tête de l’Inde en mai 2014. En organisant une rencontre surprise à Lahore avec son homologue pakistanais Nawaz Sharif qui fêtait ses 66 ans, le jour de Noël 2015, Narendra Modi – d’un an son cadet – était résolu à donner une nouvelle tournure au dialogue de sourds que se livrent les deux grandes puissances nucléaires d’Asie du Sud, depuis leur indépendance. Douze ans s’étaient écoulés depuis la dernière visite d’un premier ministre indien en terre pakistanaise. C’était en janvier 2004 et il s’agissait d’Atal Bihari Vajpayee, un chef de gouvernement qui, déjà à l’époque, portait les couleurs du Parti du peuple indien (BJP, droite nationaliste hindoue).
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