Genève (Suisse), de notre correspondante.- Les agences humanitaires des Nations unies ne savent plus quel superlatif employer ni quel moyen utiliser pour réveiller les consciences sur ce qui se passe au Yémen : l’effondrement d’un État sur fond de guerre, avec désormais une épidémie de choléra et de diphtérie et un risque de famine pour 8,5 millions de personnes (sur 23,9 millions d’habitants) totalement dépendantes d’une aide humanitaire qui arrive au compte-gouttes.
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