Istanbul (Turquie), de notre correspondant.– Depuis près d’un an, la Turquie tient à bout de bras la seule autorité reconnue comme légitime par l’ONU en Libye, le gouvernement d’union nationale (GNA, pour Government of National Accord) du premier ministre Fayez al-Sarraj. Au printemps dernier, ce sont les drones armés et les blindés fournis par Ankara, ainsi que les premiers contingents de combattants syriens transférés en Libye par l’entremise de la Turquie, qui ont permis au GNA d’enrayer l’offensive de son rival, le maréchal Khalifa Haftar, basé dans l’est du pays, et de son Armée nationale libyenne (ANL).
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Istanbul (Turquie), de notre correspondant.– Depuis près d’un an, la Turquie tient à bout de bras la seule autorité reconnue comme légitime par l’ONU en Libye, le gouvernement d’union nationale (GNA, pour Government of National Accord) du premier ministre Fayez al-Sarraj. Au printemps dernier, ce sont les drones armés et les blindés fournis par Ankara, ainsi que les premiers contingents de combattants syriens transférés en Libye par l’entremise de la Turquie, qui ont permis au GNA d’enrayer l’offensive de son rival, le maréchal Khalifa Haftar, basé dans l’est du pays, et de son Armée nationale libyenne (ANL).
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