Cela fait maintenant quelques mois que Barack Obama tisse sa toile au Proche-Orient : appels du pied en direction de l'Iran et de la Syrie, nomination d'un émissaire spécial – George Mitchell – qui voyage sans faire de bruit, consultations discrètes avec les alliés européens, tournée du nouveau directeur de la CIA dans la région au début du mois, entretien avec le président israélien Shimon Peres il y a 15 jours, intervention du vice-président Joe Biden, qui a soufflé le chaud et le froid devant l'AIPAC, le lobby pro-israélien à Washington.
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