Varsovie (Pologne), de notre envoyée spéciale.- C’est devenu leur obsession. Il n’y a pas un réfugié en Pologne depuis la vague d’arrivées de 2015 et la mise en place, il y a deux ans, du mécanisme européen de relocalisation, mais les dirigeants polonais ne parlent que de cela. Anna Schmidt-Rodziewicz est députée PiS (Droit et Justice), le parti au pouvoir à Varsovie. Nous la rencontrons dans son bureau du Sejm, le Parlement polonais. À sept reprises au cours de notre entretien, quelles que soient nos questions, elle revient sur la thématique migratoire et répète les mêmes assertions.
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