La coalition Blockupy a organisé mercredi une journée d'action musclée contre la Banque centrale européenne, le jour de l'inauguration de son nouveau siège à Francfort. « La crise entre pour la première fois en Allemagne », se réjouit l'un des organisateurs. Le sort de Syriza, et les manières de lui venir en aide, ont occupé une bonne partie des conversations.
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De notre envoyé spécial à Francfort.- Les percussions de la fanfare, ponctuées des cris « Non à la Troïka », se mêlent au ronronnement de l'hélicoptère des forces de l'ordre, stationné une centaine de mètres plus haut. Ils sont un peu plus de 300 activistes à s'être massés dès 6 heures du matin, mercredi, sur ce lieu de « blocage ». Ils font face, de l'autre côté de la barrière de barbelés, à une rangée de policiers et leurs fourgons. À l'arrière-plan, les deux imposantes tours de verre bleutées de la Banque centrale européenne (BCE), dans les quartiers est de Francfort.
Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
Attentats du 13-Novembre : les grands entretiens
— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
Plus de 30 000 personnes auraient trouvé refuge en France depuis le début de la guerre d’invasion russe en Ukraine, en février. Si le gouvernement a assuré que tous les moyens seraient mis en œuvre pour les accueillir, la désorganisation persiste, regrettent les acteurs de terrain.
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