Coup de théâtre ou coup de com’ ? Hier, vendredi 18 septembre, le premier ministre, Jean Castex, a annoncé que la France ne ratifierait pas « en l’état » l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur (qui regroupe quatre pays sud-américains : l’Argentine, le Brésil, l’Uruguay et le Paraguay). Raison invoquée : le texte « met en péril la biodiversité et dérègle le climat ». Le gouvernement s’appuie sur un rapport, remis la veille par une commission indépendante dirigée par l’économiste Stefan Ambec, qui pointe les effets délétères pour le climat et la déforestation de l’exportation de 99 000 tonnes de viande de bœuf des pays du Mercosur vers l’Union européenne.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
Coup de théâtre ou coup de com’ ? Hier, vendredi 18 septembre, le premier ministre, Jean Castex, a annoncé que la France ne ratifierait pas « en l’état » l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur (qui regroupe quatre pays sud-américains : l’Argentine, le Brésil, l’Uruguay et le Paraguay). Raison invoquée : le texte « met en péril la biodiversité et dérègle le climat ». Le gouvernement s’appuie sur un rapport, remis la veille par une commission indépendante dirigée par l’économiste Stefan Ambec, qui pointe les effets délétères pour le climat et la déforestation de l’exportation de 99 000 tonnes de viande de bœuf des pays du Mercosur vers l’Union européenne.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous