Au Brésil, WhatsApp est en passe de se retourner contre Bolsonaro
Accusée d’être une autoroute à fake news, l’application de messagerie qui équipe 120 millions de Brésiliens pourrait devenir le principal problème du candidat d’extrême droite, après avoir été son atout. Le tribunal suprême électoral du Brésil a approuvé vendredi 19 octobre l’ouverture d’une enquête sur l’envoi de messages payés par des entreprises qui lui sont notoirement favorables.
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Le tribunal suprême électoral du Brésil a approuvé vendredi 19 octobre l’ouverture d’une enquête sur les accusations portées contre le candidat de l’extrême droite à l’élection présidentielle, Jair Bolsonaro, d’utiliser l'application WhatsApp pour diffuser des messages publicitaires à caractère politique. De son côté, WhatsApp, filiale de Facebook, a déclaré vendredi avoir pris des mesures immédiates pour empêcher les compagnies d'envoyer des messages publicitaires à caractère politique, notamment par l'envoi de lettres de mise en demeure à destination de ces sociétés.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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