C’était le bon temps. Le temps où l’on pouvait s’offrir des parts de footballeurs, comme on s’achète la cuisse d’un bœuf. Le temps où l’on spéculait sur ces morceaux de joueurs, revendus avec d’énormes plus-values. En Europe, la fête de la TPO (third party ownership, la tierce propriété de joueurs) a duré huit ans, jusqu’à son interdiction par la Fifa en mai 2015. Mais la Fédération internationale de foot, avant tout soucieuse de ne pas entraver le foot business, continue à la tolérer sous d’autres formes. Et l’interdiction est allègrement contournée (lire notre enquête ici), sans que le gendarme du foot mondial n’y regarde de trop près.
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C’était le bon temps. Le temps où l’on pouvait s’offrir des parts de footballeurs, comme on s’achète la cuisse d’un bœuf. Le temps où l’on spéculait sur ces morceaux de joueurs, revendus avec d’énormes plus-values. En Europe, la fête de la TPO (third party ownership, la tierce propriété de joueurs) a duré huit ans, jusqu’à son interdiction par la Fifa en mai 2015. Mais la Fédération internationale de foot, avant tout soucieuse de ne pas entraver le foot business, continue à la tolérer sous d’autres formes. Et l’interdiction est allègrement contournée (lire notre enquête ici), sans que le gendarme du foot mondial n’y regarde de trop près.
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