C’était il y a bientôt deux ans, en mai 2018. À Paris, le président français Emmanuel Macron s’enorgueillissait de réussir à rassembler pour la première fois les acteurs principaux du conflit en Libye sous l’égide des Nations unies et en présence d’une vingtaine de pays habitués à tirer les ficelles, chacun dans son coin, selon leurs intérêts dans la région.
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C’était il y a bientôt deux ans, en mai 2018. À Paris, le président français Emmanuel Macron s’enorgueillissait de réussir à rassembler pour la première fois les acteurs principaux du conflit en Libye sous l’égide des Nations unies et en présence d’une vingtaine de pays habitués à tirer les ficelles, chacun dans son coin, selon leurs intérêts dans la région.
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