À l’arraché, une coalition de candidats conservateurs pragmatiques et réformistes a réussi à se constituer à Téhéran pour les élections visant à renouveler, le vendredi 21 février, le Majlis (Parlement). Lors du précédent scrutin législatif, en 2016, les listes « modérées » avaient raflé les 30 circonscriptions que compte la capitale. Mais, en l’espace d’une législature, la situation politique du pays a bien changé. Cette fois, le Conseil des gardiens de la constitution, l’institution chargée de valider les candidatures à la candidature, a été impitoyable comme jamais avec le « camp de la réforme ».
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À l’arraché, une coalition de candidats conservateurs pragmatiques et réformistes a réussi à se constituer à Téhéran pour les élections visant à renouveler, le vendredi 21 février, le Majlis (Parlement). Lors du précédent scrutin législatif, en 2016, les listes « modérées » avaient raflé les 30 circonscriptions que compte la capitale. Mais, en l’espace d’une législature, la situation politique du pays a bien changé. Cette fois, le Conseil des gardiens de la constitution, l’institution chargée de valider les candidatures à la candidature, a été impitoyable comme jamais avec le « camp de la réforme ».
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