L’information révélée le vendredi 14 août par Tech Inquiry, une ONG dénonçant les abus dans le domaine technologique, semble tout droit sortie d’un livre d’anticipation dystopique : le logiciel de reconnaissance faciale le plus liberticide jamais conçu, imaginé par des membres de la droite américaine la plus radicale ayant secrètement constitué la plus importante base de photos du monde, vient d’être adopté officiellement par les services de l’immigration américaine.
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