Istanbul (Turquie).–« L’islamophobie » française, c’est indéniablement le président turc Recep Tayyip Erdogan qui en parle le mieux. Ou le plus. On se souvient des saillies du chef d’État islamo-conservateur en réaction au discours de son homologue Emmanuel Macron aux Mureaux, le 2 octobre. Alors que le président français annonçait une volée de mesures visant à lutter contre le radicalisme islamiste et l’influence de puissances étrangères au sein des communautés musulmanes de France, Erdogan prescrivait à celui-ci « des examens de santé mentale » et le qualifiait de « préfet colonial » désireux de « régler ses comptes avec l’islam et les musulmans ».
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Istanbul (Turquie).– « L’islamophobie » française, c’est indéniablement le président turc Recep Tayyip Erdogan qui en parle le mieux. Ou le plus. On se souvient des saillies du chef d’État islamo-conservateur en réaction au discours de son homologue Emmanuel Macron aux Mureaux, le 2 octobre. Alors que le président français annonçait une volée de mesures visant à lutter contre le radicalisme islamiste et l’influence de puissances étrangères au sein des communautés musulmanes de France, Erdogan prescrivait à celui-ci « des examens de santé mentale » et le qualifiait de « préfet colonial » désireux de « régler ses comptes avec l’islam et les musulmans ».
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