Et l’inimaginable advint. Lundi, le prix du pétrole pour les contrats de mai aux États-Unis est tombé au-dessous de zéro, à –36,73 dollars le baril. La crise du coronavirus, sans précédent historique, a provoqué un événement historique, sans précédent lui aussi, sur le marché pétrolier : les exploitants, les détenteurs de contrats pétroliers, ont dû payer les acheteurs pour pouvoir écouler leurs cargaisons de brut. Le baril de pétrole considéré jusqu’alors comme un actif physique qui gardait toujours une valeur est devenu un passif, une dette.
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Et l’inimaginable advint. Lundi, le prix du pétrole pour les contrats de mai aux États-Unis est tombé au-dessous de zéro, à –36,73 dollars le baril. La crise du coronavirus, sans précédent historique, a provoqué un événement historique, sans précédent lui aussi, sur le marché pétrolier : les exploitants, les détenteurs de contrats pétroliers, ont dû payer les acheteurs pour pouvoir écouler leurs cargaisons de brut. Le baril de pétrole considéré jusqu’alors comme un actif physique qui gardait toujours une valeur est devenu un passif, une dette.
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