Même si l’Élysée se garde bien de commenter les difficultés politiques présentes de l’Allemagne, l’affaiblissement d’Angela Merkel est une mauvaise nouvelle pour Emmanuel Macron. « Nous voulons un gouvernement stable et fort pour avancer ensemble », s’est contenté d’expliquer l’entourage élyséen au lendemain de l’échec du projet de coalition. Mais au-delà des formules diplomatiques, le gouvernement français ne peut cacher un certain embarras. Bon gré, mal gré, il est bien obligé de tirer les premières conclusions du revers de la chancelière : même si elle se maintient au pouvoir, Angela Merkel est en train de perdre le poids politique et diplomatique qui en faisait la personnalité dominante de la scène européenne. Elle n’aura sans doute plus jamais l’autorité suffisante pour accompagner un changement en Europe.
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Même si l’Élysée se garde bien de commenter les difficultés politiques présentes de l’Allemagne, l’affaiblissement d’Angela Merkel est une mauvaise nouvelle pour Emmanuel Macron. « Nous voulons un gouvernement stable et fort pour avancer ensemble », s’est contenté d’expliquer l’entourage élyséen au lendemain de l’échec du projet de coalition. Mais au-delà des formules diplomatiques, le gouvernement français ne peut cacher un certain embarras. Bon gré, mal gré, il est bien obligé de tirer les premières conclusions du revers de la chancelière : même si elle se maintient au pouvoir, Angela Merkel est en train de perdre le poids politique et diplomatique qui en faisait la personnalité dominante de la scène européenne. Elle n’aura sans doute plus jamais l’autorité suffisante pour accompagner un changement en Europe.
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