Les talibans, le gouvernement de Kaboul, les alliés de l’OTAN, mais aussi Islamabad, Moscou, Téhéran, et même la CIA, le Pentagone et le Département d’État, tous sont dans l’attente de la décision de Joe Biden concernant l’Afghanistan. Ce dossier, le président américain, qui s’est exprimé sur tous les grands sujets de politique internationale, notamment lors de son discours du 4 février, s’est refusé jusqu’ici de l’aborder, signe d’un embarras certain.
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Les talibans, le gouvernement de Kaboul, les alliés de l’OTAN, mais aussi Islamabad, Moscou, Téhéran, et même la CIA, le Pentagone et le Département d’État, tous sont dans l’attente de la décision de Joe Biden concernant l’Afghanistan. Ce dossier, le président américain, qui s’est exprimé sur tous les grands sujets de politique internationale, notamment lors de son discours du 4 février, s’est refusé jusqu’ici de l’aborder, signe d’un embarras certain.
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