«Le diesel européen utilise cent fois plus d’huile de palme que les 40 milliards de gâteaux Oreo consommés chaque année. » Le 2 juillet dernier, la fédération Transport et Environnement, qui regroupe plus de 50 ONG européennes œuvrant pour limiter l’impact des transports sur le réchauffement climatique, publiait ce rapport, dont le titre peut faire sourire. Mais derrière l’accroche, les chiffres sont stupéfiants.
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