Agnès Callamard : « Le projet Pegasus trahit une violation des principes démocratiques »
Le « projet Pegasus », dévoilé par Forbidden Stories, Amnesty International et 17 médias internationaux met au jour un nouveau scandale de surveillance mondiale. Éclairage d’Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International.
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NSO Group, la compagnie israélienne qui commercialise le logiciel espion Pegasus, le présente comme un outil utilisé pour la lutte contre le terrorisme et la criminalité. Pourtant, les révélations faites depuis le 18 juillet par le consortium Forbidden Stories et le Security Lab d’Amnesty International, en partenariat avec 17 médias internationaux, montrent une tout autre réalité, où tout le monde ne semble pas avoir la même définition des mots « terroriste » et « criminel ».
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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